Articles dans la presse italienne
Articles de presse pour Sang d'encre
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Muze Magazine
Dans le numéro de cet été: tout un dossier sur la peau.
Avec une interview sur Sang d'encre, et les tatouages et une nouvelle inédite "L'unique".
Site: Muze Magazine
Lire l'article paru dans aufeminin.com
L'Essor Sarladais (Jean-Luc Aubarbier) - Avril 2013
Tatouages
Le Tour des Livres
Dans une langue dense et puissante, Stéphanie Hochet nous offre un Faust moderne, une méditation sensuelle sur le sang et l’écriture, la blessure volontaire, la peau et la mémoire, les traces et l’oubli. (...)
Sophielit - Avril 2013
Site: Sophielit
Sang d'encre de Stéphanie Hochet
L’écriture de Stéphanie Hochet est forte et fiévreuse, changeante comme l’encre avec la lumière, et ce petit livre, qui ne se lâche pas, éloigne diaboliquement – et pour longtemps – des échoppes de tatouages.
Dans une langue dense et puissante, Stéphanie Hochet écrit une fiction aux marges du fantastique, une méditation sensuelle sur le sang et l’écriture, la peau et la mémoire, les traces et l’oubli. (...)
Valeurs Actuelles (S. des Horts) - Mars 2013
Sang d’encre de Stéphanie Hochet
«C’est un homme fasciné par les tatouages. Il les dessine pour ceux qui les calqueront sur les corps de leurs clients. Il n’en porte pas lui-même, comme s’il avait besoin de préserver son intégrité. Un jour il rencontre Dimitri, qui le persuade de lui offrir sa peau. Il accepte et s’en trouve transformé. Plus sûr de lui, presque puissant. Les femmes le fuyaient, elles se pressent et se succèdent aujourd’hui. Mais bientôt l’encre pâlit et étrangement son sang en fait autant.
Une très belle méditation sur la mémoire et l’écriture, à la limite du fantastique.»
S. des Horts.
La Cause littéraire (Valérie Debieux) - Mars 2013
Site: La Cause littéraire
Sang d'encre de Stéphanie Hochet
Stéphanie Hochet entraîne le lecteur dans un chassé-croisé entre le tatoueur, les tatoués, le narrateur et les personnages qui les entourent. Le fil de l’histoire se construit tel un puzzle, savamment agencé, et ce, de façon remarquablement écrite. Les phrases s’enchaînent dans une mélodie infernale, à rythmes cadencés. Le lecteur ne lâche jamais prise. La «folie» contagieuse du narrateur nous en donne presque le vertige. Sublime. (...)
Salon littéraire (Pierre Cormary) - Mars 2013
Site: Salon littéraire
Stéphanie Hochet: Peau de chagrin
Après le SM apocalyptique des Ephémérides, l’entaillage mystique de Sang d’encre. Stéphanie Hochet, l’écrivain qui (s)’incruste.
«Le plus profond, c’est la peau», Paul Valéry
Eviter le cou si c’est la première fois. Se préparer à vomir si c’est sur le ventre - même s’il est déconseillé d’être à jeun quand on a décidé de le faire (ou plus exactement de se le faire faire). De quelle nouvelle perversion sexuelle s’agit-il? Mais de tatouage, bien sûr, qui plus que sexuelle, est une perversion tribale - et l’on peut compter sur Stéphanie Hochet, qui s’y connaît en tout ce qui fait mal et plaisir à la fois, pour nous expliquer comment on en arrive à vouloir modifier son corps pour le diviniser, «tatouer» voulant littéralement dire «dessiner un dieu». (...)
Blog Léo Scheer (Lilian Auzas) - Mars 2013
Site: Blog Léo Scheer
Sang d'encre de Stéphanie Hochet, un chef-d'oeuvre selon Lilian Auzas
Qui a peur de Stéphanie Hochet?
Stéphanie Hochet (née en 1975) est sans aucun doute, l'un des écrivains les plus brillants de ce début de siècle, auteure entre autres de Moutarde douce (Robert Laffont, 2001, Stock, 2004), Je ne connais pas ma Force (Fayard, 2007), La Distribution des Lumières (Flammarion, 2010) ou encore de Les Éphémérides (Rivages, 2012). Elle nous revient avec un petit chef-d’œuvre publié aux Éditions des Busclats: Sang d'Encre. (...)
Pilc Mag (Stéphanie Joly) - Mars 2013
Site: Pilc Mag
Sang d'encre de Stéphanie Hochet
Profaner la peau, s’inscrire dans le temps
Stéphanie Hochet fait partie de ces auteurs dont les livres regorgent d’éléments appelant l’analyse. Sang d’encre, on le devine au titre, ne fait pas exception à cette règle et son texte vient confirmer ce sentiment avec excellence. (...)
Biblioblog (Yohan) - Mars 2013
Site: Biblioblog
Sang d'encre de Stéphanie Hochet
Stéphanie Hochet signe un ouvrage touchant, charnel et fantastique. Par le tatouage, le corps est au cœur du récit. Outre ce récit aux frontières du fantastique, Stéphanie Hochet signe un ouvrage qui traite d'une question existentielle : que laisse-t-on de soi? Comment faire pour laisser une trace, et laquelle? (...)
In Cold Blog - Mars 2013
Site: In Cold Blog
Quand fond la neige où va le blanc ?*
HOCHET, Stéphanie - Sang d'encre
Habile réflexion sur le tatouage et l’acte irréversible (ou presque) de marquer sa peau, Sang d’encre en cache une autre, plus sombre, sur le temps qui passe, l’obsolescence programmée de toute chose, la mort et ce qu’on laisse de soi.
... L’écriture de Stéphanie Hochet a la précision et la redoutable efficacité du scalpel, mais sait aussi se faire sensuelle. (...)
Le carnet de Myriam Thibault - Mars 2013
Stéphanie Hochet Sang d'encre
Le narrateur est fasciné par les tatouages. Il décide de se faire tatouer, après plusieurs semaines de réflexions. Il se rend chez son ami Dimitri, tatoueur professionnel, reconnu dans le milieu parisien, et pour qui il dessine déjà. Mais pour lui, c’est une première. Il choisit le plexus, un des endroits les plus sensibles du corps, et une citation latine: Vulnerant omnes, ultima necat. Ce qui signifie «Toutes blessent, la dernière tue». (...)
20 minutes - Février 2013
Sang d'encre
de Stéphanie Hochet
La fascination qu'exercent tatouages et tatoueurs sur le narrateur l'a conduit à dessiner pour l'un d'eux, son ami Dimitri. Mais il a longtemps résisté à offrir sa peau aux poinçons et à l'encre. C'est une phrase latine sur les heures qui passent, Vulnerant omnes, ultima necat (toutes blessent, la dernière tue), qui le fera changer d'avis et bouleversera son existence (...)
Des galipettes entre les lignes - Février 2013
Sang d'encre Roman de Stéphanie Hochet
Le narrateur est fasciné par les tatouages. Il en dessine pour Dimitri, son ami qui est artiste tatoueur. Lors d’un voyage en Italie, le narrateur découvre une devise inscrite sur un cadran solaire: Vulnerant omnes, ultima nequat. Cette phrase l’obsède et le charme tellement qu’il décide de sauter enfin le pas et de se faire tatouer, juste sur le plexus solaire. (...)
L'insatiable Charlotte - Février 2013
Sang d'encre de Stéphanie Hochet: obsédant!
Tôt le matin, une maison plongée dans le noir, une couette encore chaude, une veilleuse, un livre: Sang d’encre de Stéphanie Hochet.
Des frissons, un début de journée étrange, une lecture en un souffle.
L’admiration de l’écriture.
Le décor est planté. On voudrait trouver les trois mots parfaits pour décrire cet ovni littéraire livré par Stéphanie Hochet. Pas de long discours avec cet auteur, le vif, le bref, l’instantané. L’essentiel. (...)